Exigez avec nous la justice pour toutes les victimes et la protection sans condition des populations civiles
Espace journalistes
Contact presse
Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :
+33 1 53 38 66 00
+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)
Espace journalistes
Contact presse
Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :
+33 1 53 38 66 00
+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)
RDC. Il faut un leadership régional pour prévenir de nouvelles atrocités et amener les responsables présumés à répondre de leurs actes
À la veille du sommet conjoint des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), les 7 et 8 février, consacré à l’escalade des combats en République démocratique du Congo (RDC), Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a déclaré :
« Ce sommet spécial sur la situation très grave en République démocratique du Congo n’a que trop tardé. Les conséquences catastrophiques sur les droits humains du conflit armé dans le pays n’ont que trop duré. Aujourd’hui, des centaines de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes sont de nouveau contraints de fuir les combats, endurant des conditions désastreuses et tentant désespérément d’échapper à la mort.
Ce sommet spécial sur la situation très grave en République démocratique du Congo n’a que trop tardé. Les conséquences catastrophiques sur les droits humains du conflit armé dans le pays n’ont que trop duré. Aujourd’hui, des centaines de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes sont de nouveau contraints de fuir les combats, endurant des conditions désastreuses et tentant désespérément d’échapper à la mort.
Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International
« Les États et les organisations intergouvernementales, notamment la Communauté d’Afrique de l’Est, la Communauté de développement de l’Afrique australe, l’Union africaine, les Nations unies et l’Union européenne, doivent intensifier leur engagement en ce moment décisif, dénoncer ceux qui rendent possibles les attaques se déroulant à Goma et au-delà, et faire clairement savoir que tous les responsables présumés de ces atrocités devront répondre de leurs actes dans le cadre de procès équitables.
l est grand temps de faire en sorte que les auteurs de crimes relevant du droit international commis en RDC depuis près de 30 ans rendent des comptes. Laisser passer cette occasion ne fera qu’encourager les responsables et renforcer la probabilité de voir de telles atrocités se reproduire.
Agnès Callamard
« Il est grand temps de faire en sorte que les auteurs de crimes relevant du droit international commis en RDC depuis près de 30 ans rendent des comptes. Laisser passer cette occasion ne fera qu’encourager les responsables et renforcer la probabilité de voir de telles atrocités se reproduire. »
Complément d’information
Le 18 janvier, le groupe armé M23, avec l’appui des forces rwandaises, a lancé une opération militaire afin d’étendre son territoire, violant l’accord de cessez-le-feu conclu entre le Rwanda et la RDC dans le cadre du processus de paix de Luanda. Depuis cette date, le M23 et les Forces rwandaises de défense (RDF) se sont emparés de plusieurs villes et localités, dont la capitale de la province du Nord-Kivu, Goma.
Le 27 janvier, Amnesty International a appelé les partenaires régionaux et internationaux de la RDC à exercer des pressions sur toutes les parties au conflit dans l’est du pays – notamment les combattants du groupe armé M23 soutenu par le Rwanda, les armées rwandaises et congolaises, et leurs alliés – afin qu’ils donnent la priorité à la protection de la population civile dans le sillage des récents combats qui se sont déroulés à Goma.
The post RDC. Il faut un leadership régional pour prévenir de nouvelles atrocités et amener les responsables présumés à répondre de leurs actes appeared first on Amnesty International.
Espace journalistes
Contact presse
Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :
+33 1 53 38 66 00
+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)
RDC. Les victimes attendent toujours la justice, la vérité et des réparations, 25 ans après la guerre de Kisangani
Vingt-cinq ans après la guerre des six jours à Kisangani, en République démocratique du Congo (RDC), lors de laquelle des centaines de civil·e·s ont été tués et des milliers d’autres blessés, les victimes...
RDC. Le M23 tue, torture et retient des civils en otage dans des lieux de détention – Nouvelle enquête
Le Mouvement du 23 mars (M23), soutenu par le Rwanda, tue, torture et fait disparaître de force des détenus, en prend certains en otage et les soumet à des conditions inhumaines dans des lieux de détention...
RDC. Les violations endémiques des droits humains imputables au groupe armé M23 appellent une action internationale concertée
Depuis qu’il s’est emparé de la ville de Goma, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), en janvier, le groupe armé M23 soutenu par le Rwanda a effectué des descentes dans des hôpitaux,...
RDC. Les parties au conflit doivent donner la priorité à la protection des civil·e·s et à l’accès de l’aide humanitaire à Goma
Les partenaires régionaux et internationaux de la République démocratique du Congo (RDC) doivent exercer des pressions sur toutes les parties au conflit dans l’est du pays – notamment les combattants du...
RDC. Le président Félix Tshisekedi doit stopper tout projet d’exécution massive
En réaction aux informations selon lesquelles plus de 170 condamnés à mort ont été transférés à la prison d’Angenga pour y être exécutés en République démocratique du Congo (RDC), Sarah Jackson, directrice...