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Bélarus. La libération de 52 détenu·e·s est la bienvenue mais la répression persiste face à l’absence d’obligation de rendre des comptes
Réagissant à la libération de 52 personnes incarcérées sur la base de charges à caractère politique au Bélarus, notamment des journalistes, des responsables syndicaux et des militant·e·s, Anna Wright, spécialiste de la région à Amnesty International, a déclaré :
« La remise en liberté de 52 personnes détenues au Bélarus pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression est la bienvenue, mais elle est bien tardive. Si leur libération est un soulagement, plus de 1 000 personnes injustement poursuivies se trouvent toujours derrière les barreaux dans ce pays.
« Les autorités bélarussiennes continuent leur répression cruelle contre l’opposition. Quiconque ose émettre des critiques ou protester contre le gouvernement risque une arrestation et une détention arbitraires, des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements, ainsi que des procès iniques. Le climat répressif reste généralisé au Bélarus.
« La gravité des violations en cours est illustrée par le traitement choquant infligé à Mikalai Statkevich qui, au côté des autres personnes remises en liberté, a été conduit jusqu’à la frontière lituanienne, où il a dû lutter pour son droit de ne pas être exilé.
« La seule résolution acceptable à la crise persistante des droits humains au Bélarus est la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes détenues simplement pour avoir exercé leurs droits fondamentaux. »
Complément d’information
Le 1er septembre 2025, 52 personnes victimes de détention arbitraire ont été libérées dans le cadre d’un accord entre le président bélarussien Alexandre Loukachenko, et le président étasunien Donald Trump.
En échange, les États-Unis ont déclaré qu’ils allègeraient certaines sanctions pesant sur le Bélarus. Ces libérations ont coïncidé avec un exercice militaire conjoint entre la Russie et le Bélarus, et ont fait suite à un épisode lors duquel la Pologne a signalé une incursion de drones russes dans son espace aérien.
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