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VIVRE DE LA TERRE ET MOURIR POUR ELLE
VIVRE DE LA TERRE ET MOURIR POUR ELLE
Comprendre et agir contre les violences entre éleveurs et agriculteurs au Tchad
Une crise trop longtemps ignorée
Au Tchad, des familles sont endeuillées, des villages incendiés, et des milliers de personnes vivent dans la crainte.
Les affrontements entre éleveurs et agriculteurs ne cessent d’augmenter, alimentés par les effets du changement climatique, la pression sur les ressources naturelles, et la prolifération des armes.
Notre nouveau rapport révèle des faits graves : des personnes tuées, des habitations détruites, des populations abandonnées et des autorités qui manquent à leur devoir de protection et une absence de justice pour les victimes
Le gouvernement du Tchad doit agir maintenant.
Et vous pouvez contribuer au changement.
Une campagne illustrée : comprendre la crise à travers l’animation 2D
Pour rendre visibles les réalités vécues par les communautés affectées, nous avons produit une animation 2D de trois minutes.
Cette vidéo retrace, de manière accessible et humaine, le vécu de familles touchées : villages brûlés, exodes improvisés, perte des récoltes, absence de soutien.
Les illustrations 2D issues de cette vidéo donnent un visage symbolique aux victimes, tout en respectant leur dignité et leur sécurité.
Elles accompagnent cette campagne tout au long de la page.
Agissez maintenant
Entre 2022 et 2024, les provinces du Moyen-Chari, du Mandoul, du Logone Oriental et du Logone Occidental ont été frappées par des attaques violentes entre agriculteurs et éleveurs. S’agissant uniquement des cas documentés par Amnesty International, près d’une centaine de personnes ont été tuées, des familles ont été forcées de fuir et plus de 600 maisons ont été incendiées.
Les tensions sont exacerbées par la raréfaction des terres arables et des points d’eau, la dégradation du climat, et la circulation incontrôlée d’armes.
Mais ce qui rend cette crise si meurtrière, c’est l’inaction de l’État.
Dans plusieurs cas documentés, les forces de sécurité sont arrivées trop tard. Dans d’autres, elles n’ont pas agi du tout, laissant les populations sans protection au cours des attaques.
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