Aller au contenu
Agir
Faire un don
ou montant libre :
Grâce à la réduction d'impôts de 66%, votre don ne vous coûtera que : 85 €
QUAND UN DROIT TOMBE, DES VIES BASCULENT

En faisant un don à Amnesty International, vous dénoncez les violations des droits humains et agissez pour protéger celles et ceux qui en sont victimes.

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 6 76 94 37 05

[email protected]

Pour toute autre demande, contactez le standard au 01 53 38 65 65 ou notre Service Relations Membres et Donateurs par téléphone au 01 53 38 65 80 du lundi au jeudi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h30 et le vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h, ou par email : [email protected]

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 6 76 94 37 05

[email protected]

Pour toute autre demande, contactez le standard au 01 53 38 65 65 ou notre Service Relations Membres et Donateurs par téléphone au 01 53 38 65 80 du lundi au jeudi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h30 et le vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h, ou par email : [email protected]

Myanmar. La hausse brutale du nombre de morts montre que les autorités doivent cesser immédiatement d’employer la force meurtrière

En réaction aux informations selon lesquelles 18 personnes ont été tuées et de nombreuses autres blessées lorsque la police et l’armée ont attaqué des manifestant·e·s pacifiques à travers le pays dimanche 28 février, Emerlynne Gil, directrice régionale adjointe des recherches à Amnesty International, a déclaré :

« Il est choquant et très inquiétant que la police et l’armée aient répondu par la force meurtrière face à des manifestant·e·s totalement pacifiques, ce qui a entraîné une hausse brutale du nombre de morts hier.

« Ces manifestant·e·s doivent pouvoir exercer leur droit de se réunir pacifiquement pour exprimer leur avis sur la situation actuelle du pays.

« Tous les responsables de l’application des lois, qu’il s’agisse de la police ou de l’armée, sont tenus de faciliter et de protéger les rassemblements pacifiques. Ils ne doivent pas blesser des manifestant·e·s et en aucun cas employer la force meurtrière. Toute mesure prise pour restreindre ces rassemblements pacifiques doit être légitime, proportionnée et nécessaire.

« Dans cette situation qui se dégrade rapidement, les forces de sécurité du Myanmar doivent immédiatement cesser d’avoir recours à une force injustifiée contre les manifestant·e·s pacifiques et libérer toutes les personnes arrêtées arbitrairement. »

Complément d’information

Selon des informations parues dans les médias, 18 manifestant·e·s ont été tués le 28 février par les forces de sécurité, qui ont fait usage d’armes létales contre des manifestant·e·s pacifiques lors de rassemblements de grande ampleur à travers le pays.

Depuis le coup d’État militaire du 1er février 2021, la population du Myanmar organise des manifestations nationales, qui sont non violentes dans leur immense majorité.

Une mission d’établissement des faits de l’ONU menée précédemment au Myanmar avait demandé que le général Min Aung Hlaing, chef de l’armée aujourd’hui à la tête du pays, et d’autres hauts gradés fassent l’objet d’une enquête et soient poursuivis pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre.

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 6 76 94 37 05

[email protected]

Pour toute autre demande, contactez le standard au 01 53 38 65 65 ou notre Service Relations Membres et Donateurs par téléphone au 01 53 38 65 80 du lundi au jeudi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h30 et le vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h, ou par email : [email protected]

Sur le même pays

Myanmar. Une frappe aérienne militaire meurtrière contre un hôpital témoigne d’un mépris choquant pour le droit à la vie

Publié le : 11.12.25

En réaction aux informations faisant état d’une frappe aérienne menée par l’armée du Myanmar contre un hôpital dans l’État d’Arakan, dans la soirée du mercredi 10 décembre 2025, Journée internationale...

Myanmar. Dans les conditions actuelles, le rapatriement des Rohingyas serait « catastrophique » dans l’État d’Arakan, dans le nord du pays

Publié le : 29.09.25

Les populations rohingyas de l’État d’Arakan, dans le nord du Myanmar, sont confrontées au travail forcé, à des crises alimentaires et sanitaires, à de sévères restrictions de leur liberté de circuler...

Myanmar. Le financement de l’éducation doit être rétabli après les coupes budgétaires de l’USAID

Publié le : 08.05.25

Les États-Unis et les autres gouvernements doivent trouver de toute urgence des financements pour les programmes éducatifs au Myanmar qui constituaient une bouée de sauvetage pour les élèves et étudiant·e·s,...

Myanmar. Les attaques militaires inhumaines dans les zones touchées par le séisme entravent les opérations de secours

Publié le : 01.04.25

L’armée du Myanmar doit s’abstenir de procéder à des frappes aériennes délibérées et à d’autres formes d’attaques contre des cibles civiles dans les zones touchées par le séisme de magnitude 7,7 qui s’est...

Myanmar. Il faut faciliter de toute urgence l’acheminement de l’aide humanitaire pour les personnes rescapées du séisme

Publié le : 28.03.25

Réagissant aux informations faisant état d’un séisme de magnitude 7,7 dans les régions du centre et d’autres zones du Myanmar, Joe Freeman, chercheur sur le Myanmar à Amnesty International, a déclaré :...