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Botswana. Le président élu Mokgweetsi Masisi doit faire de l’abolition de la peine de mort une priorité absolue
Le président sortant du Botswana, Mokgweetsi Masisi, doit accorder la priorité à l’abolition de la peine de mort dans le pays, a déclaré Amnesty International à la veille de son investiture le 1er novembre 2019.
« Mokgweetsi Masisi a la possibilité de faire preuve dès à présent d’un leadership déterminé en abolissant la peine de mort. Exécuter des citoyens ne sert pas la justice et le monde se détourne de ce châtiment ignoble et dégradant, a déclaré Deprose Muchena, directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique australe.
« La peine de mort n’a pas sa place dans un pays comme le Botswana, qui joue un rôle moteur important sur certaines questions politiques délicates, notamment en dénonçant l’impunité pour les violations des droits humains commises sur le continent africain. »
La peine de mort est toujours appliquée pour certains crimes au Botswana. En 2018, deux personnes ont été exécutées après avoir été reconnues coupables de meurtre. C’est le seul pays d’Afrique australe qui exécute régulièrement des condamnés, allant à l'encontre de la tendance régionale et mondiale.
Les exécutions ont diminué de près d’un tiers en 2018, atteignant le chiffre le plus faible enregistré depuis 10 ans. À la fin de l'année 2018, 106 pays avaient aboli la peine de mort dans leur législation pour tous les crimes et 142 étaient abolitionnistes en droit ou en pratique. Amnesty International s’oppose en toutes circonstances et sans aucune exception à la peine de mort, quelles que soient la nature et les circonstances du crime commis, la culpabilité ou l’innocence ou toute autre situation du condamné, ou la méthode utilisée pour procéder à l’exécution.
La peine de mort est une violation du droit à la vie, et le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit. Amnesty International demande au Botswana de l’abolir pour tous les crimes et de rejoindre les 106 pays du globe qui ont définitivement tourné le dos à ce châtiment cruel.
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Botswana/Namibie. L’accord sur la libre circulation entre les deux pays est « un pas dans la bonne direction »
En réaction à l’accord signé entre le Botswana et la Namibie autorisant les personnes à circuler librement entre les deux pays, Tigere Chagutah, directeur régional pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique...
Botswana. L’exécution de deux personnes témoigne du mépris pour le droit à la vie dont fait preuve le gouvernement du président Mokgweetsi Masisi
Le gouvernement du Botswana a annoncé que deux personnes ont été exécutées le 8 février à la prison centrale de Gaborone, après avoir été condamnées à mort en 2019 et avoir perdu leurs recours en 2020....
Botswana. La première année au pouvoir du président Mokgweetsi Masisi est entachée par des exécutions
La première année au pouvoir du président Mokgweetsi Masisi se caractérise par un fort regain du nombre d’exécutions, quatre personnes ayant été mises à mort depuis son investiture, a déclaré Amnesty International...
Botswana. La dépénalisation des relations consenties entre personnes de même sexe est un exemple dont doivent s’inspirer les autres pays africains
La décision rendue par la Haute Cour de Gaborone dépénalisant les relations consenties entre personnes de même sexe représente une victoire dans la lutte pour l’égalité et la liberté d’aimer qui l’on veut,...