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Burundi. La peine d’emprisonnement de Germain Rukuki ramenée de 32 à un an

« C’est une formidable nouvelle, non seulement pour Germain et sa famille, mais aussi pour les centaines de milliers de personnes défendant les droits humains dans le monde entier qui font campagne sans relâche pour sa libération depuis quatre ans.

« La décision de la cour d’appel de ramener sa peine d’emprisonnement de 32 à un an est un pas dans la bonne direction. Cependant, Germain n’aurait jamais dû être incarcéré et il faut encore que la déclaration de culpabilité prononcée à son encontre pour rébellion soit annulée. »

Germain Rukuki a passé quatre ans derrière les barreaux alors qu’il n’a fait qu’œuvrer en faveur des droits humains. Il a été déclaré coupable et emprisonné en 2018 pour des charges controuvées. Le 4 juin, la cour d’appel de Ntahangwa a annulé sa déclaration de culpabilité pour « participation à un mouvement insurrectionnel », « atteinte à la sécurité intérieure » et « atteinte à l’autorité de l’État », mais cette décision n’a été annoncée publiquement que le 21. En revanche, sa condamnation pour « rébellion » a été confirmée. Maintenant que sa peine a été ramenée à un an d’emprisonnement et une amende de 50 000 francs burundais (environ 25 dollars des États-Unis), Germain Rukuki devrait être libéré prochainement.

Pour plus d'informations 

Burundi. La peine de 32 ans d'emprisonnement infligée pour avoir défendu les droits humains constitue un déni de justice | Amnesty International

Burundi. Il faut libérer un défenseur des droits humains condamné à 32 ans de réclusion | Amnesty International

Burundi. Lancement de la campagne mondiale en faveur de Germain Rukuki | Amnesty International

Article. C’est le moment de libérer Germain Rukuki | Amnesty International

Burundi. Il faut que les autorités annulent la déclaration de culpabilité de Germain Rukuki et le libèrent | Amnesty International

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