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Amnesty Korea held an event called 'Letter Night' in Seoul, South Korea for the Write for rights campaign.
This photograph was taken in Korea and shows the Amnesty International events held by the Section to mark Amnesty’s 2019 Write for Rights.
10 Jours pour Signer 2019 © Kim, Yonggi

10 Jours pour Signer 2019 © Kim, Yonggi

Liberté d'expression

10 jours pour signer 2019 : un bilan encourageant

Comme chaque année, décembre 2019 a été marqué par notre campagne 10 jours pour signer. Retour sur l’édition 2019.

Ces dix jours de mobilisation s’articulent autour de la Journée internationale des droits de l’Homme. Ils permettent de mettre en lumière la situation de 10 personnes dans le monde, dont les droits ont été bafoués. En 2019, « 10 jours pour signer », la plus grande campagne mondiale pour les droits humains mettait en avant les droits de l’enfant et des jeunes militants.

Lire aussi : 10 jours pour signer, qu'est-ce que c'est ?

Si ce rendez-vous est bel et bien un rendez-vous annuel, jamais la mobilisation n’avait été aussi forte en France.

Une mobilisation historique

115 000 d’entre vous se sont mobilisées pour défendre Yasaman, Ibrahim, Marinel et sept autres personnes. Des millions de lettres, d’emails, de tweets, de messages sur Facebook et de cartes postales ont été envoyés. Vous avez été particulièrement sensibles au cas de Yasaman, cette jeune iranienne de 24 ans, incarcérée pour avoir milité contre le port du voile obligatoire en Iran mais aussi au cas de Magai, jeune homme originaire du Soudan du Sud, condamné à mort à l’âge de 15 ans.

Votre engagement change des vies

La mobilisation citoyenne est un levier important pour faire pression sur les décideurs politiques et contribuer à la justice sociale. La campagne 10 jours pour signer l’a prouvé une fois de plus. En janvier, Camille Halut, observatrice de la Ligue des droits de l’homme en France a été relaxée de tous les chefs d’accusations retenus contre elle. Début février, la Cour d’appel de Téhéran a annoncé une réduction de peine pour Yasaman et sa mère, militantes pour les droits des femmes en Iran. Nous avons appris que la Cour d'appel de Téhéran avait réduit les peines de Yasaman et de sa mère à neuf ans et sept mois d'emprisonnement. Bien que la peine soit toujours totalement disproportionnée, cette annonce est tout de même porteuse d’espoir.

N’en doutez plus, votre voix compte !

Un grand merci à tous pour avoir permis ces changements, ces avancées et parfois, ces victoires !