Aller au contenu
Agir
Faire un don
ou montant libre :
/mois
Grâce à la réduction d'impôts de 66%, votre don ne vous coûtera que : 5,1 €/mois

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 1 53 38 66 00

+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)

spresse@amnesty.fr

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 1 53 38 66 00

+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)

spresse@amnesty.fr

Irak / Syrie. État des lieux sur les droits humains et la situation des civils après la chute du groupe armé État islamique à Raqqa et Mossoul

IRAK / SYRIE. État des lieux sur les droits humains et la situation des civils après la chute du groupe armé État islamique à Raqqa et Mossoul

Proposition d’entretien avec Donatella Rovera,

Principale conseillère d’Amnesty International pour les situations de crise

Donatella Rovera, chercheuse et principale conseillère d’Amnesty International pour les situations de crise, sera disponible jeudi 29 mars 2018, pour des interviews sur la situation des droits humains à Raqqa et Mossoul après la chute du groupe armé se désignant sous le nom État islamique.

Donatella Rovera s’est rendue en février pour enquêter dans les deux villes, quelques mois après leur reprise aux mains de l’État Islamique. Alors que Raqqa et Mossoul sont entièrement détruites par des mois de bataille, elle pourra livrer son témoignage sur la situation des civils aujourd’hui ainsi que son analyse des conséquences, en termes de droits humains, de l’intervention militaire de la coalition menée par les États-Unis.

Note à l’attention des rédacteurs

Donatella Rovera est chercheuse en zones de conflits à Amnesty International. Diplômée en Économie et Politique à la School of Oriental and African Studies de Londres en 1990, elle entre à Amnesty International en tant que chercheuse sur l’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc-Sahara Occidental) dès 1990. En 1994, elle est déclarée persona non grata en Tunisie, interdiction qui perdure jusqu’à la chute de Ben Ali. En 2001, elle travaille pour différentes ONG (Human Rights Watch à Gaza, Frontline sur les nouvelles lois anti-terroristes à la suite du 11-Septembre) et couvre l’Israël et la Palestine, la guerre entre le Sud-Liban et Israël, l’Irak, le Yémen et la Syrie. En 2010, elle rejoint l’Unité de crises d’Amnesty International. En mission notamment au Yémen et en Irak l’année passée, elle a également traversé une dizaine de fois la frontière nord de la Syrie depuis 2012.

Précédentes recherches d’Amnesty International

Raqqa : en août 2017, dans son rapport « I won’t forget this carnage » – Civilians trapped in Battle for Raqqa », Amnesty International documentait la situation des civils, pris au piège entre engins piégés et snipers de l’EI, qui cible quiconque tente de fuir, et au barrage incessant des tirs d’artillerie et des frappes aériennes des forces de la coalition que dirige les États-Unis, combattant aux côtés du groupe armé des Forces démocratiques syriennes (FDS).

Mossoul : le rapport « At any cost: The civilian catastrophe in West Mosul, Iraq », publié en juillet 2017, couvrait les combats qui se sont déroulés dans l'ouest de Mossoul de janvier à la mi-mai 2017. Les recherches rapportent que L’État islamique (EI) a délibérément déplacé des civils des villages voisins vers les zones de combats de Mossoul-Ouest, les a pris au piège dans leurs maisons et empêchés de s’enfuir, les utilisant comme des boucliers humains. Les forces irakiennes et celles de la coalition menée par les États-Unis ont utilisé des armes explosives et imprécises qui ont tué des milliers de civils. Ils n’ont pas pris de mesures appropriées pour protéger les civils qu’ils ont, au contraire, soumis à un déluge de feu terrifiant venant d’armes qui n’auraient jamais dû être utilisées dans des zones civiles densément peuplées.

Espace journalistes

Contact presse

Pour toute demande d'interview ou recevoir nos communiqués de presse :

+33 1 53 38 66 00

+33 6 76 94 37 05 (soir & week-end)

spresse@amnesty.fr