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Un policier armé devant la mosquée Kocatepe à Ankara le 17 juillet. ©AFP/Getty Images

Un policier armé devant la mosquée Kocatepe à Ankara le 17 juillet. ©AFP/Getty Images

Turquie : les droits durement acquis ne peuvent pas être supprimés

Jusqu'au 30.08.2016
Recep Tayyip Erdoga, président de la Turquie :
Je refuse la suppression des droits fondamentaux en Turquie, même sous l'état d'urgence

Dans le contexte actuel de peur et d’incertitude, le gouvernement ne doit pas, dans sa quête de justice, bafouer les droits de la population. Les violences qui ont eu lieu pendant la tentative de coup d’État doivent faire l’objet d’une enquête et les responsables présumés doivent être déférés à la justice, mais les droits humains doivent être respectés, et non pas ignorés pendant ces procédures.

L’état d’urgence n’annule pas les obligations auxquelles est tenue la Turquie au titre du droit international et il ne doit pas permettre d’abandonner les libertés et les garanties chèrement acquises. Personne ne peut se sentir en sécurité lorsque les droits humains ne sont pas respectés.

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