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Discriminations

Vitalina Koval

Vitalina Koval défend l’égalité pour tous et toutes en Ukraine. Pour cela, elle est persécutée.

18/10/2019

Un procès contre deux des personnes reconnues coupables de l'attaque contre Vitalina est en cours.

08/03/2019

Vitalina et d'autres personnes d'Uzhgorod ont pu manifester tranquillement en étant protégées par la police à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. 1/3 de manifestants en plus était présent cette année.

 

Elle a coordonné notamment le travail d’un centre social à Oujgorod, sa ville natale, destiné aux personnes LGBTI.

Le 8 mars 2018, alors qu’elle organisait une manifestation à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, six membres du groupe radical « Karpatska Sich » l’ont aspergée de peinture rouge.

Des éclaboussures lui ont provoqué des brûlures aux yeux. « Pendant de longues minutes, j’ai eu mal et n’arrivais pas à chasser de mon esprit l’idée que je pouvais perdre la vue », a-t-elle confié.

À sa sortie d’hôpital, Vitalina s’est rendue au poste de police. Il a fallu qu’elle insiste plusieurs heures pour que sa plainte soit qualifiée d’infraction « motivée par la haine ».

Ses agresseurs arrêtés ont pu l’entendre décliner son adresse à haute voix avant d’être relâchés. Par la suite, Vitalina et d’autres militantes ont reçu de nouvelles menaces, et certaines affirment avoir été tabassées.

Cette attaque du 8 mars qui s’inscrit dans un contexte de regain de violences de la part de groupes locaux d’extrême droite.

Se présentant comme patriotes et nationalistes, ils perturbent les débats publics, menacent les journalistes et agressent les militants comme Vitalina.

Trente agressions similaires ont été recensées par Amnesty International depuis le printemps 2017 dans un climat d’impunité presque total.

Agir

Agissez pour Vitalina

Chaque année, l'opération 10 Jours Pour Signer permet de se mobilier sur 10 situations où les droits des personnes sont bafoués.